lunedì 23 giugno 2014

En 2015 Milan va accueillir l'Exposition universelle !



Les expositions universelles organisées par le Bureau international des expositions (BIE) se déroulent tous les 5 ans. 

Après Shanghai en 2010, ce sera au tour de Milan en Italie d'accueillir la prochaine exposition universelle en 2015.
La capitale de la Lombardie, qui est aussi l'une des plus grandes aires urbaines en Europe et un pôle européen pour la mode et le design, va se transformer pendant plusieurs mois en capitale mondiale de la gastronomie ! 





Le thème retenu pour l'Exposition est en effet "Nourrir la planète, énergie pour la Vie".
Cette exposition s'annonce comme le plus grand événement au monde sur le thème de l'alimentation et de la nutrition. 

Le choix de Milan pour accueillir cet événement est une belle reconnaissance pour le pays qui a inventé le concept de slow food !

Création de Slow Food 

Slow Food est une association internationale qui milite pour promouvoir l'éducation du goût. Elle se bat pour préserver la biodiversité agroalimentaire, encourager le commerce équitable mais aussi le développement des producteurs locaux.


Slow Food est née dans les années 1980 en Italie, sous l'impulsion de Carlo Petrini et d'un groupe de gourmets de la région piémontaise. Ensemble ils souhaitent apporter un nouveau regard sur l'alimentation, l'agriculture et bien entendu la gastronomie. Le mouvement s'engage en 1986 en dénonçant la construction d'un Mac Donald à Rome. Ils décident de se nommer "Slow Food" en opposition au terme anglais « Fast-Food » qui désigne la mal-bouffe associée à la restauration rapide.

Le mouvement se développe rapidement en Italie puis atteint la France en 1998. 

Le premier « convivium » (groupe local) français est fondé à Perpignan par Jean Lhéritier
Aujourd'hui plus de 1000 conviviums existent partout dans le monde.
Aujourd'hui Slow Food est présente dans 150 pays des 5 continents et elle compte plus de 100,000 membres.
Une Université a été créée à Pollenzo et Colorno en Italie pour préparer à des métiers pour la valorisation et la gestion des ressources gastronomiques. Plusieurs cursus sont proposés en un ou trois ans.

Création de Slow Food

Slow Food est une association internationale qui milite pour promouvoir l'éducation du goût. 
Elle se bat pour préserver la biodiversité agroalimentaire, encourager le commerce équitable mais aussi le développement des producteurs locaux.
Slow Food est née dans les années 1980 en Italie, sous l'impulsion de Carlo Petrini et d'un groupe de gourmets de la région piémontaise. 

Ensemble ils souhaitent apporter un nouveau regard sur l'alimentation, l'agriculture et bien entendu la gastronomie. 
Le mouvement s'engage en 1986 en dénonçant la construction d'un Mac Donald à Rome. 
Ils décident de se nommer "Slow Food" en opposition au terme anglais « Fast-Food » qui désigne la mal-bouffe associée à la restauration rapide.

Le mouvement se développe rapidement en Italie puis atteint la France en 1998. Le premier « convivium » (groupe local) français est fondé à Perpignan par Jean Lhéritier. Aujourd'hui plus de 1000 conviviums existent partout dans le monde.

Aujourd'hui Slow Food est présente dans 150 pays des 5 continents et elle compte plus de 100,000 membres.

Une Université a été créée à Pollenzo et Colorno en Italie pour préparer à des métiers pour la valorisation et la gestion des ressources gastronomiques. Plusieurs cursus sont proposés en un ou trois ans.
 

Le credo de Slow Food : 
Un produit BON, c'est à dire de saison, frais et goûteux. 
Un produit PROPRE, c'est à dire produit dans le respect de l'écosystème et de l'homme. 

Un produit JUSTE, c'est à dire respectueux d'une équité sociale et qui permet des prix, des rémunérations et des conditions de travail équitables pour tous ceux qui participent à chaque étape de la vie du produit. En 2003 l'association internationale Slow Food a créé la Fondation Slow Food pour la Biodiversité Onlus. 

De nombreuses campagnes sont engagées, des projets « sentinelles » pour défendre les petits producteurs et les produits artisanaux. Ainsi Slow Food s'engage pour la planète et la préservation de la biodiversité alimentaire. 
 En effet près de 700 produits dans le monde sont désormais en danger de disparition. 
Ces produits oubliés qui ont parfois fait la richesse d'une région avant de se raréfier de plus en plus. 
La campagne l'Arche du goût a pour objectif de faire redécouvrir ses produits grâce à un catalogue.
La Fondation cherche a soutenir les communautés locales et garantir un futur aux petits producteurs locaux. 


Elle souhaite redonner une dignité culturelle aux communautés de paysans, berges, pêcheurs, etc. 

Elle souhaite défendre les territoires et les écosystèmes du monde entier et ainsi sauver des races d'animaux, des variétés végétales ou encore des méthodes de travail traditionnelles. 
Enfin la fondation souhaite trouver des techniques de travail qui prennent en compte la protection de l'environnement. 
Un ensemble d'objectif pour une culture raisonnée et respectueuse de la santé et le bien-être de tous.
La Fondation Terra Madre a également vu le jour en 2004. 

Slow Food a mis en place cette fondation pour créer un réseau international réunissant des producteurs, des représentants de communautés locales, des cuisiniers, universitaires et chercheurs, engagés dans le respect de la nature et la diversité culturelle et culinaire. Slow Food est bien entourée pour mener à bien ses projets. 
Parmi ses partenaires et les associations qui luttent à ses côtés on retrouve des grandes organisations comme le CEFA et Fairetrade. Slow Food reçoit le soutien de nombreuses organisations notamment commerciales ou financières



L'exposition universelle 2015 à Milan devrait générer un afflux touristique exceptionnel dans la ville. 

20 millions de visiteurs sont attendus pendant les 6 mois de l'exposition, du 1er mai au 31 octobre 2015. 

Les organisateurs prévoient une moyenne de 160.000 visiteurs par jour !
La majorité d'entre eux (15 millions) viendront d'Italie, mais 5 millions de touristes feront le déplacement depuis le reste du monde. 


Et parmi eux, un million de visiteurs viendront de France.
La capitale de la Lombardie se prépare donc à une hausse de 40% de sa fréquentation touristique en 2015. 

Pour y faire face, plus de 40 nouveaux hôtels devraient voir le jour d'ici l'année prochaine...

Milan, qui avait déjà accueilli l'Exposition universelle de 1906 sur le thème des transports, va en partie faire peau neuve pour cette nouvelle exposition. 

On estime à plus de 20 milliards d'euros les investissements prévus en infrastructures.
Non seulement la ville va étoffer sa capacité hôtelière, mais elle va aussi améliorer ses transports en commun avec la création de nouvelles lignes de métro

une ligne 4 entre Milan Linate Airport et Milan Lorenteggio, une ligne 5 entre Monza et le stade San Siro, sans oublier l'extension de la ligne 3 vers le nord et le sud.
Sont également annoncés la création de 11 km2 d'espaces verts et la réhabilitation du réseau fluvial des Navigli (canaux artificiels).

Après l’exposition universelle de 2015, le site d'accueil de l'événement de 110 hectares sera transformé en "smart city", un quartier du futur intelligent et écologique !



sabato 14 giugno 2014

Fuleco l'armadillo di Brasile 2014




La star dell'attesissimo Mondiale di Calcio, é un personaggio che se ne intende di pallone .. Fuleco, l’armadillo di Brasile 2014. 

La mascotte del campionato è stata scelta non solo per la simpatia e per il fatto che si raggomitola e diventa una palla, ma anche per fare un po’ di luce sul pericolo che gli armadilli corrono, in particolare la specie chiamata bolita, un tempo molto diffusa in Brasile e oggi a rischio estinzione. 
Il nome della mascotte di quest’anno deriva dalla contrazione delle parole futebol (calcio) ed ecologia, e speriamo vivamente che utilizzarlo come simbolo del Mondiale serva a sensibilizzare e mobilitare il paese per la sua salvaguardia. 
I suoi capelli azzurri come l’acqua del Brasile vogliono ricordare l’importanza di difendere l'ambiente.

Ma Fuleco non è certo l’unico animaletto ad aver fatto da testimonial al più grande evento calcistico del mondo: sono 13 i suoi ‘colleghi’ passati, e si tratta per lo più di animali, ma anche di vegetali o personaggi di fantasia, che simboleggiano in qualche modo il Paese ospitante. 


La tradizione delle mascotte FIFA è cominciata nel 1966 con Willie, il leone-simbolo dei mondiali giocati nel Regno Unito, che indossava la maglia con la Union Jack, la bandiera inglese con la scritta "World Cup". 

In seguito è arrivato il ragazzino cicciottello con il sombrero Juanito, che fu la mascotte del mondiale disputato in Messico nel 1970.

Successivamente la World Cup si giocò nella Germania dell’Ovest, e la mascotte fu doppia: Tip e Tap erano due ragazzini che portavano le maglie della loro squadra con stampate le lettere WM (Weltmeisterschaft, cioè ‘Coppa del mondo’) e ’74, l’anno. Ai due piccoli tedeschi seguì un giovane argentino, Gauchito, mascotte di Argentina 1978 che indossava la maglia nazionale con gli accessori tipici del gaucho: il fazzoletto, la frusta e il cappello che porta data e luogo. 

Da allora il mondo vegetale e animale tornarono protagonisti. I Mondiali di Spagna 1982 sono simboleggiati da Naranjito, una grossa arancia che indossa la divisa della nazionale e tiene in mano un pallone. 

Se in Spagna hanno scelto le arance, in Messico 1986 è il turno del peperoncino: altro campionato messicano, altra mascotte con sombrero, ma stavolta è Pique, un peperoncino verde, ad indossarlo, con tanto di baffoni.

La prima mascotte che non proviene dal mondo naturale è stata quella di Italia ’90: Ciao, l’omino fatto di cubi nei colori della bandiera italiana e con un pallone al posto della testa. 


Tornano gli animali con USA ’94 e la mascotte Stryker, un cane che indossa una divisa di calcio con i colori della bandiera. 

Nel 1998 l'emblema nazionale é il galletto di Francia Footix, con il corpo blu, la testa rossa e il pallone bianco in mano. 

I Mondiali di Corea e Giappone del 2002 vantano invece un trio di  mascotte: Ant, Kaz e Nik. I tre personaggi di fantasia rappresentano una squadra, l’Atomball, con allenatore (Ato, la mascotte arancione) e i due giocatori viola e blu.

E si arriva così ai più recenti Goleo VI & Pille, simboli di Germania 2006: un leone e una palla da calcio parlante, che confermano la tradizione tedesca della doppia mascotte. Infine, i Mondiali del Sudafrica giocati nel 2010 avevano come emblema Zakumi, un leopardo dalla chioma verde come l’erba del campo di calcio.