sabato 27 luglio 2013

Le 25 juillet 2013 Bernadette Lafont ...









A' 08h26 , le 25 juillet 2013, la comédienne  Bernadette Lafont a succombé après avoir été placée mercredi soir en réanimation, a précisé à l'AFP une source hospitalière. 

Elle avait été hospitalisée au CHU de Nîmes lundi, après avoir été victime d'un malaise alors qu'elle se trouvait au centre hélio-marin du Grau-du-Roi (Gard). Elle avait été secourue en début d'après-midi par les pompiers, puis par le Samu et transférée par hélicoptère à l'hôpital nîmois. 

Bernadette Lafont, qui enchaînait tournages et projets, avait connu cette année un beau succès dans le film "Paulette", où elle campait une retraitée qui se met à vendre du cannabis pour joindre les deux bouts. Résultat: plus d'un million d'entrée au box-office. 

Mais, à la mi-juillet, elle avait dû annuler, pour raison de santé, sa participation au festival de théâtre de Figeac (Lot). 

L'actrice, qui devait aussi tourner dans "Les vacances du petit Nicolas", avait été remplacée récemment pour les mêmes raisons par la comédienne Dominique Lavanant, a précisé à l'AFP le producteur du film, Marc Missonnier. 

Née le 26 octobre 1938 à Nîmes (Gard), cette fille de pharmacien se destinait d'abord à la danse tout en rêvant de cinéma.
Grâce à son premier mari, le comédien Gérard Blain, elle rencontre les jeunes réalisateurs de la Nouvelle vague, dont François Truffaut qui lui offre en 1957 son premier rôle dans le court métrage "Les mistons", puis Claude Chabrol pour "Le beau Serge", un succès. 







Brune sensuelle dotée d'un incroyable bagout et d'une voix très particulière, personnage haut en couleur au jeu spontané, Bernadette Lafont est devenue à la fin des années 50 l'égérie de la Nouvelle vague, tournant encore "La fiancée du pirate" de Nelly Kaplan, ou "Une belle fille comme moi" de François Truffaut. 

"Eprise d'amour et de liberté

"Ce qui m'avait séduite chez elle, c'est sa beauté, son talent, un regard extraordinaire et un sourire charmant", a déclaré jeudi à l'AFP Nelly Kaplan, se disant "effondrée" par la mort de celle qui était restée son "amie". 

"Le cinéma français perd avec Bernadette Laffont une artiste qui avait su par sa liberté épouser tous les genres, de la Nouvelle vague, aux comédies populaires", a déclaré dans un communiqué le Palais de l'Elysée, saluant celle qui "mettait dans ses rôles de la fantaisie, de l'audace et de l'humanité". 

Evoquant "La maman et la putain" de Jean Eustache, le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a noté qu'"à travers ses rôles de femmes élégantes et modernes, dont l'inoubliable Marie (dans le film d'Eustache), elle incarnait avec une grâce toute particulière, la Parisienne éprise d'amour et de liberté". 
Le président du Festival de Cannes, Gilles Jacob, a fait part de "sa grande tristesse", parlant d'une "une énorme perte pour notre cinéma". 
"Elle était une actrice incontournable et unique du paysage cinématographique (...) Son authenticité et son originalité vont faire défaut", a souligné la présidente du Centre national du cinéma, Frédérique Bredin. 

Alternant films pointus et comédies plus ou moins anticonformistes, Bernadette Lafont était devenue une actrice incontournable du cinéma français, de "La Gueule de l'autre" de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Jean Poiret en 1979 à "L'Effrontée", de Claude Miller, avec Charlotte Gainsbourg en 1985, rôle pour lequel elle a obtenu le César du meilleur second rôle féminin.
Elle tournera aussi pour Louis Malle, Costa-Gavras, Jean-Pierre Mocky, etc. 
Couronnée par un César d'honneur en 2003 pour l'ensemble de sa carrière, qui compte plus d'une centaine de films, elle avait rejoint plus récemment Alain Chabat et Charlotte Gainsbourg pour "Prête-moi ta main" en 2006 ou "La première étoile" en 2009 de Lucien Jean-Baptiste. Ce dernier a confié sur RTL être "vraiment très triste" parce que ce "monstre du cinéma" était "comme une petite mère" pour lui. 

Parallèlement au cinéma, elle a mené une véritable carrière au théâtre avec "La Tour de la Défense" du dramaturge argentin Copi en 1981 ou en 2006 "Si c'était à refaire" de Laurent Ruquier.
Elle était aussi une familière du petit écran, jouant dans de très nombreux téléfilms. 

Officier de la Légion d'honneur, Bernadette Lafont avait eu trois enfants. Sa fille cadette Pauline, actrice qui avait marqué les esprits dans "L'Eté en pente douce" de Gérard Krawczyk en 1987, était morte accidentellement en 1988 à l'âge de 25 ans. 

Bernadette Lafont, son entretien pour le magazine Femina

Egérie de la Nouvelle vague et comédienne populaire, l'actrice Bernadette Lafont s'est éteinte jeudi 25 juillet, au matin, à l'âge de 74 ans au CHU de Nîmes, un décès qui a déclenché une vague d'hommages.
Au debut de l'année elle a été interviewée par le journal FEMINA.




Interview du 16 janvier 2013 d'Edmée Cuttat pour le magazine Femina

 






A presque 75 ans, Bernadette Lafont dégage une énergie communicative. Le temps qui passe, elle s’en fiche. Ses projets la passionnent.

Fille d’un pharmacien nîmois qu’elle adorait et pour qui elle a voulu devenir célèbre, égérie de la Nouvelle Vague,
Bernadette Lafont illumine les écrans de son insolence, de son naturel, de sa voix inimitable, depuis plus d’un demi-siècle.
Le 26 octobre prochain, la populaire et charismatique actrice, à l’affiche de tant de films qu’elle en a perdu le compte, va fêter ses 75 ans. Difficile à croire quand on la rencontre dans les locaux de la Gaumont à Neuilly.


Ligne de jeune fille, impeccablement maquillée et coiffée, la comédienne est pimpante, dynamique, chaleureuse.
Depuis toujours, le théâtre et le cinéma dominent son quotidien, la motivent et la font avancer. Mais au-delà de Paulette, où elle incarne une mamie dealeuse de shit méchante et raciste, cette native du Scorpion se plie avec grâce et humour au jeu de l’interview pour dévoiler une part plus intime.

FEMINA  Hors des plateaux ou de la scène, qui êtes-vous et comment vivez-vous?

Une personne ordinaire qui a vécu une enfance heureuse, s’est le plus souvent bien amusée, et une têtue qui a l’habitude de réaliser ses rêves. Je mène une existence simple, saine, très réglée. Je suis assez monacale, je sors peu, je dors beaucoup. Je suis du matin, dont l’énergie me dope. Fervente adepte de l’effort physique, je pratique assidûment le Pilates pour me tenir en forme et me donner à fond dans mon métier.

Des moments de détente quand même, au milieu de cette activité forcenée?

Je n’ai pas la télévision, mais j’écoute beaucoup la radio. Je fais du feu dans ma cheminée, je lis, surtout des biographies. Je suis curieuse de tout ce que je ne connais pas et je n’ai jamais fini d’apprendre.

L’automne prochain, vous fêterez vos 75 ans. Est-ce que cela vous angoisse?

Non. Tant que je travaille et que j’aides projets, la vieillesse ne me fait pas peur. Et j’en ai des tas, de projets! A part mon métier, j’ai une passion, les travaux dans les maisons.
J’en ai deux. Une dans les Cévennes et l’autre dans les Deux-Sèvres, vers Saumur.
J’adore les arranger. Sinon, j’aime aller au marché et dénicher de quoi préparer des repas pour mes amis. Je me prends deux jours. Un pour les courses l’autre pour cuisiner. Souvent des plats à base de champignons... Je ne suis pas très dessert, mais je réussis des mélanges de fruits crus et cuits.

Votre anticonformisme est légendaire. On a même dit que vous incarniez l’indépendance sexuelle et intellectuelle. Dans «La fiancée du pirate», les hommes tombent comme des mouches face à vous.

Si vous voulez la liberté, prenez-la, n’attendez pas qu’on vous la donne. C’est ce que j’ai fait. Il y a tant de pièges dans la société. Quant à l’indépendance sexuelle, chaque chose en son temps. Aujourd’hui… Mais il est vrai que je n’ai pas boudé mon plaisir, particulièrement dans les années avant le sida. J’ai eu plein d’amants. Je ne suis d’ailleurs pas la seule. A cette époque on faisait l’amour comme on prenait le thé.

Vous sentez-vous plus femme, mère, ou comédienne?

Difficile de répondre. J’ai eu deux maris, trois enfants, un garçon et deux filles, dont Pauline, qui est morte dans un accident de forêt en 1988. Il y a un avant et un après Pauline… On ne se remet jamais d’une telle tragédie… Mais mon métier m’a sauvée. Je suis donc davantage une comédienne dans la mesure où j’ai choisi le métier d’abord.

En dépit de votre côté décomplexé, y a-t-il des choses qui vous font rougir?

Je suis souvent choquée. Par la vulgarité, l’incivilité, le spectacle parfois navrant qu’offrent nos politiciens. Mais cela ne me fait pas rougir, cela me met en colère. Comme l’abandon des vieux qui a inspiré Paulette, mon dernier film. Il est parti de l’histoire vraie d’une vieille dame, qui décide de trafiquer du haschisch dans sa cuisine pour ne pas se retrouver à la rue. Aujourd’hui, on veut nier la vieillesse. Tout le monde doit être jeune et beau. C’est fatigant.

Quel est le plus beau compliment qu’on vous ait fait. Et de qui venait-il?

De Robert Hirsch, un acteur pour qui j’ai une dévotion absolue. Il dit toujours en m’accueillant: «Voila le plus beau sourire du cinéma français.»

Y a-t-il une chose que vous ne savez pas faire et qui vous handicape?

Je suis nulle en pâtisserie, c’est dommage pour mes petits-enfants. J’en ai cinq. Trois filles et deux garçons. Et puis il y a une chose que je regrette bien qu’elle ne soit pas un handicap, c’est de ne pas avoir appris à monter à cheval. J’avais en fait une véritable peur de cet animal.

Revenons au cinéma, vous avez tourné quelque 150 films, des courts-métrages, des téléfilms... N’avez-vous jamais eu envie de passer derrière la caméra?

N’importe qui aujourd’hui se pique de réalisation. Mais je respecte trop le cinéma pour cela. Il faut avoir quelque chose à dire. Je suis à ma place dans mon histoire d’interprète et ça me va très bien.

Comme vous ne vous arrêtez jamais, où et quand vous retrouvera-t-on prochainement?

En février, je serai sur scène à l’Opéra Comique dans Ciboulette, mis en scène par Michel Fau. Et au cinéma, on me verra dans Attila Marcel, une comédie de Sylvain Chaumet.

Une dernière question, Bernadette Lafont. Si vous pouviez recommencer votre vie?

Je crois bien que je referais la même chose. Ou peut-être serais-je chorégraphe. Je viens de la danse, même si je ne l’ai pratiquée qu’en amateur.







venerdì 21 giugno 2013

Carla Bruni : dolce Francia ! j'aime !





Little French Songs ,in italiano: Piccole Canzoni Francesi è il quarto album della cantautrice Carla Bruni.
Il disco, in Francia, è stato pubblicato in 3 edizioni musicali.
Il suo primo singolo intitolato Chez Keith et Anita anticipa l'uscita del suo quarto album in studio intitolato Little French Songs.



Per presentare questo lavoro, il 13 febbraio Carla Bruni  ha partecipato come ospite alla seconda serata del Festival di Sanremo, condotto da Fabio Fazio
Tra i brani, oltre a Chez Keith et Anita che cita Keith Richards e Anita Pallenberg, Mon Raymond é dedicata al marito Nicolas Sarkozy e Dolce Francia é l'adattamento in italiano della canzone di Charles Trenet " Douce France".

ecco il testo :


Parole della canzone  Dolce Francia tratta dall’album di Carla Bruni





Mi ritornano di notte dei pensieri tutti miei
Dei ricordi dell’infanzia profumati come mai
Mi ricordo la mia scuola la mia strada la città
E le canzoni che cantavo di Trenet o di Ferrat
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel moi cuor’
La mia casa che tranquilla ci aspettava
Ogni sera si sognava senza l’ombra di un timor’
Io ti amo e ti dedico ‘sto brano
Io ti amo nella gioia e nel dolor’
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel mio cuor
Oggi vado per il mondo sotto mille celi blu
È incantevole e rotondo da Venezia a Tombouctou
Ma i miei più cari ricordi vengono tutti da te
Dai tuoi verdi paesaggi i tuoi villaggi i tuoi caffè
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel mio cuor’
La mia casa che tranquilla ci aspettava
E mia madre sorrideva senza l’ombra di un timor’
Io ti amo e ti dedico ‘sto brano
Io ti amo nella gioia e nel dolor’
Dolce Francia caro paese d’infanzia
Mi hai cullata di speranza e ti ho presa nel mio cuor’
Si ti ho presa nel mio cuor’

Un consiglio : ascoltare questa canzone.
A me piace molto ,  ma siccome "de gustibus non est disputandum" ...ciascuno sifarà la propria idea !

domenica 16 giugno 2013

Adriano Celentano, la sua piccola biografia.






Ecco qui una piccola biografia di Adriano Celentano, un personaggio carismatico del mondo della musica italiana, e non solo.
Attore, cantante, presentatore, personaggio implicato pubblicamente nella vita sociale dell'Italia di ieri e di oggi;
Segnala la pagina

Milanese di origine pugliese, Adriano Celentano, "il molleggiato", nasce a Milano nel 1938, il 6 gennaio.
Comincia ad esibirsi come comico e imitatore nei cabaret milanesi, poi debutta ufficialmente come cantante al palazzo del Ghiaccio di Milano nel corso del Primo Festival del Rock And Roll.
E' il 1957. 
Gli bastano tre o quattro 45 giri per trasformarsi nel protagonista più idolatrato (e spesso più criticato) della canzone italiana. 

Popolarissimo già come "rocker", diventa in seguito interprete di singolari ballate ispirate ai generi più vari (musica soul, tango, valzer, shimmy) e, a partire dal 1965 si dedica con lo stesso successo anche al cinema, tanto come regista (Super rapina a Milano), quanto come interprete (Serafino, 1968, di P. Germi), rivelando davanti alla macchina da presa una singolare vena comica, favorita dall'aria sorniona e dalle sue doti di "molleggiato".





Colleziona in circa 40 anni una serie impressionante di successi discografici, ma anche come attore non scherza. 
Lo ricordiamo in "Bianco, rosso e..." (1972), di A. Lattuada, in "Rugantino" (1973), in "Qua la mano" (1979), in "Il bisbetico domato" (1980), in "Segni particolari: bellissimo" (1988), e come regista in "Yuppi Du" (1975), "L'altra metà del cielo" (1976), "Geppo il folle".

Nell'inverno 1987-1988 ha voluto scommettere anche sulla propria popolarità televisiva, accettando di condurre il varietà del sabato sera, "Fantastico 8". 
Ne sono sortite pagine intere sui quotidiani, una valanga di polemiche, ma soprattutto "picchi" di audience da record e un ennesimo successo discografico. 





Sono molte le canzoni che lo consegnano alla storia della canzone italiana. Alcune poi sono piccoli gioielli, come "Azzurro", "Una carezza in un pugno" e "Il ragazzo della via Gluck". Tra le incisioni più recenti ricordiamo album come "La pubblica ottusità" (1989), "Il re degli ignoranti" (1991) e "Quel punto" (1994), ma sul mercato discografico continuano ad occupare uno spazio rilevante tutti i dischi del suo lungo catalogo e diverse antologie di largo successo come il recente "Le origini di Adriano Celentano".





Nel 1999 pubblica il cd "Io non so parlar d'amore" nato dalla  collaborazione con Mogol, per i testi, e Gianni Bella per le musiche. 
Nel 2000 realizza per la Rai un programma dal titolo "Francamente me ne infischio", in cui accosta musica, con la partecipazione di moltissimi artisti italiani ed internazionali, e temi sociali, scatenando polemiche per la durezza di alcuni immagini trasmesse. 
A novembre dello stesso anno pubblica il nuovo album nato dalla fortunata collaborazione con Mogol e Gianni Bella, "Esco di rado (e parlo ancora meno)". 






Nel 2003, esce il cd Per sempre approdato nei negozi sulla scia dello straordinario successo ottenuto dai due precedenti album. 
Ultima fatica è l'album "C'è sempre un motivo" (2004) che contiene anche un brano indedito di Fabrizio De André intitolato "Lunfardia", cantata nel dialetto di Buenos Aires.

E' sposato dal 1964 con la bellissima attrice e cantante Claudia Mori, con la quale ha avuto 3 figli : 
Rosalinda, Giacomo e la mediatica Rosita.




Venerdi' prossimo festeggiamo la Musica !


 
 
 
Come é nata la festa della Musica. 
Il progetto "Festa della Musica" nasce in Francia nel 1981, grazie sopratutto all'intiuzione di tre figure carismatiche del partito socialista: Christian Dupavillon, architetto e amico del Ministro della Cultura; Maurice Fleuret, critico musicale e neo Direttore della Musica; e Jack Lang, nuovo capo della Rue de Valois.
Tutto comincia nell'inverno 1981-1982, quando Maurice Fleuret presenta a Christian Dupavillon una nota dove sostiene che la nuova politica musicale del paese dovrebbe tenere conto di un dato rilevante: i francesi posseggono più di quattro milioni di strumenti musicali.
Dopo un anno di riflessione ed esitazioni, il governo prende dunque la decisione di dare vita ad un fenomeno culturale senza precedenti nelle nazioni moderne: una "festa della musica", nazionale, popolare e gratuita.
La "Fête de la Musique" viene lanciata il 21 giugno 1982, giorno del solstizio d'estate, in una notte pagana che richiama l'antica tradizione delle feste di San Giovanni.
Essa non ha niente in comune con un Festival di musica - generalmente basato su un determinato compositore o genere musicale, secondo una programmazione selezionata da un direttore artistico - al contrario, questa è prima di tutto una festa popolare gratuita, aperta a tutti coloro che desiderano produrvisi, ed a tutti i generi musicali.
Il successo dell'evento è immediato e spontaneo.
In meno di 20 anni la Festa diventa un avvenimento mondiale e uno dei simboli dell'unione culturale tra i Paesi ed i popoli.

La filosofia di questa festa diventata internazionale.

Diversa da un festival, senza vincoli di genere musicale, la manifestazione è "la festa di tutte le musiche" e di tutti i musicisti. Siano essi professionisti o semplici appassionati, a tutti la Festa garantisce un palcoscenico.
E' L'incontro tra generi, culture e professionalità diverse, tra musica classica e rock, colta e popolare, tra passione e mestiere.
Al pubblico, la Festa regala centinaia di concerti gratuiti di tutti i generi musicali, in centro e in periferia, per rispondere a un ideale democratico di manifestazione popolare aperta a tutti e per valorizzare, qualificare ed animare anche gli spazi poco conosciuti della città.
Il progetto è un bell'esempio di come la Festa Europea della Musica diventi uno spazio di sperimentazione e stimolo alla creatività, e faciliti i giovani musicisti nella realizzazione dei loro progetti, offrendo loro la possibilità di realizzare le loro idee e di diventare protagonisti di spazi importanti della città.
Dalla sua nascita, trenta anni fa, la Festa della Musica si propone di offrire un palcoscenico ai giovani musicisti, di stimolare l'ascolto, la pratica e lo studio della musica, di favorire l'incontro tra culture e generi.
Partendo dal principio ispiratore "FATE LA MUSICA", la Festa intende promuovere i patrimoni culturali europei, far conoscere, condividere ed apprezzare la straordinaria vitalità e la diversità del mondo musicale in Europa e allo stesso tempo promuovere la pratica musicale e la musica viva.
 
La Francia sceglie "la voce" come tema per l'edizione 2013 della Festa europea della musica.
A Roma la Festa europea della musica quest'anno è dedicata a Giuseppe Verdi, nel bicentenario della nascita.






sabato 15 giugno 2013

Dress code per Parigi ! Imbarcamento immediato !

Da seguire assolutamente ! ..il consiglio di ELLE Italia : una fuga romantica a Parigi.
Partire il prossimo week end per Parigi, per un viaggio di stile nel segno della bellezza, godendosi gli angoli e gli scorci più suggestivi della Ville Lumière.

Di giorno lungo Canal St. Martin, l’Île de la Cité, o Champ de Mars e il Cimitero del Père-Lachaise, con immancabili tappe nelle boutique di culto o nei tanti negozietti vintage.
Di sera a cena nei bistrot più esclusivi all’Opéra o immergendosi nell’atmosfera bohèmienne e affascinante del Marais e di Montmartre.
Perdersi pure tra i vicoli e le mille meraviglie della città, l’importante sarà tenere ben salda la bussola della stile su un mood chic, classico e bon ton.
La palette del piccolo guardaroba-à-porter si sintonizza così su delicate nuance neutre e pastello, con incursioni nel marinière e nel color block per dare un’interpretazione contemporanea all’allure squisitamente parigina.

Anche il bagaglio si adegua allo spirito francese ed ecco che il cabas disegnato da André Courrèges nel 1972, rieditato in versione week ender e con lo storico logo della maison, diventa il bagaglio perfetto per questa meta.

Da riempire con “les essentiels”: di rigore per il day look : la maglia a righe di Equipment abbinata a un paio di jeans boyfriend (Current Elliott) e alle pantoufle in raso stampato Charles Philip Shanghai. Il bomber ultrawhite griffato Stella McCartney sarà il Vanessa Bruno) e con un paio di sandali rosa cipria (Pedro García).


passepartout in versione 24h da indossare di sera sull’abito in seta con scollo a V e ampia gonna .




lunedì 20 maggio 2013

TABLE un resto parisien cher.. pour gourmets frimeurs :)










table-bruno-verjus-paris
 

Dans le secteur Aligre le restaurant branché "Les Banquettes" a été remplacé en avril 2013 par le restaurant Table.
· A la tête de cette Table on trouve le gastronome blogueur Bruno Verjus.
· Dans son restaurant Table, Bruno Verjus propose une cuisine traditionnelle française composée de beaux produits.
· La carte de Table propose environ 5 entrées, une sélection de charcuteries, deux ou trois plats et deux desserts ; selon les jours Table présente une volaille ou une viande ou un poisson exceptionnel, et un gros légume racine.
· Pour un repas chez Table de Bruno Verjus, compter environ de 60Euro.
· Service de 12h à 14h30 et de 19h30 jusqu'à 22h30.
· Pour obtenir une bonne table la réservation est conseillée.
·
· Voir le site du restaurant Table de Bruno Verjus.


Bruno Verjus est un critique gastronomique, un blogueur,un  auteur, un chroniqueur radio, un consultant.
Cet homme-orchestre du gastrocosme vient de passer de l’autre côté du miroir en se catapultant restaurateur et, même, chef cuistot !
C'est bien lui qui, derrière sa table-comptoir, découpe la pintade,  rôtie au sel et assortie de quelques rondelles de carotte et d’herbes sauvages.
Comme le veut la « nouvelle tradition », un plat épuré , préparé dans un cadre architecturé qui n’a rien à cacher (brique, ardoise, étain, acier ), servi par des produits exceptionnels (la « pécore » vient de la ferme de La Ruchotte), pioché dans une carte ramassée : une entrée, deux plats, un dessert, voire quelques salaisons.
Lieu jaune de ligne, proposé cru avec du cédrat digitata mandoliné et des kumquats ; jambon de porc noir de Saint-Géry ;  entrecôte demi-sèche de vache rouge des Flandres ; et grandiose fourme affinée de Valcivières.
Cette fine Table (35 couverts) ne serait pas totalement normée si les quelques vins qu’on y sert n’étaient pas nature.
Restaurant Table
3, rue de Prague
Paris (75012)
MÉTRO : Gare de Lyon & Ledru Rollin
TÉL : +33 1 43 43 12 26
www.tablerestaurant.fr

LES PLUS : Voir et se faire voir, Ouvert le lundi
PRIX : Plus de 51 €
HORAIRES : De midi à 14h30 et de 19h30 à 22h30. Fermé samedi et dimanche.

Le style Gatsby , entre Ralph Lauren et Brook Brother...








Adapté du célèbre roman de Francis Scott  Fitzgerald, le film Gatsby le Magnifique de Baz Luhrmann a pour tête d’affiche, Leonardo Di Caprio et Tobey Maguire. 
Une première version cinématographique ( avec Robert Redford et Mia Farrow) avait vu le jour en 1974 et était devenu un référence en terme de style.
 Aujourd’hui, cette deuxième version s’inscrit dans la même optique. 




Peu de périodes de l’histoire moderne ont eu un impact aussi fort sur la mode que les années 20. L’entre-deux-guerres était propice au divertissement, à l’amusement, à écouter du jazz et dépenser son argent… Les années 20 étaient des années de croissance où le glamour se transposait autant sur la silhouette de la femme que de l’homme.
A l’ère du charleston, le costume est de rigueur, assez près du corps et se pare de teintes élégantes comme le bleu pastel ou le « midnight blue ». Pour imiter les costumes d’époque, la production a fait appel à Brooks Brothers, la plus ancienne marque de vêtements des États-Unis. De nombreux présidents, d’Abraham Lincoln à J.F. Kennedy ont revêtu les créations de cette maison créée par Henry Sand Brooks en 1818. Quant au vestiaire féminin, il a été élaboré avec la complicité de la maison Prada, créant pour Carey Mulligan une garde-robe à la fois scintillante et élégante.


Ralph Lauren a lui aussi dessiné les costumes du film. Il a dédié l’une des branches de sa collection masculine aux personnages du roman, en misant sur des silhouettes chic et intemporelles taillées dans des tissus rétro. Et quoi de plus normal pour celui qui, en 1974 lors de la première version du film, avait habillé  Mia Farrow et Robert Redford. Un hommage, qui, presque quarante ans plus tard, n’a pas pris une ride.
A retenir également, le port du petit mouchoir assorti à la tenue, un accessoire pile dans la tendance qui revient sur le devant de la scène en 2013.

La garde-robe de Gatsby chez Brooks Brothers Alors que la précédente adaptation hollywoodienne du roman culte de Francis Scott Fitzgerald était habillée par Ralph Lauren, pour 2013, c’est Brooks Brothers qui taille un costume à Leonardo DiCaprio pour le compte de la costumière oscarisée Catherine Martin. Elle s’est inspirée des archives de la marque pour réaliser plus de 500 costumes pour le film. En hommage à cette collaboration, la plus ancienne marque de vêtements américaine dévoile au grand public une collection capsule de costumes, smokings, chemises et accessoires inspirés de cet âge d’or de l’élégance masculine que sont les années 20 aux Etats-Unis.


 Pour Catherine Martin, le choix de l’institution preppy Brooks Brothers pour Gatsby le Magnifique était évident puisque Fitzgerald lui-même était client et faisait référence à la marque dans ses écrits.

 Si vous ne vous êtes pas déjà rués en boutique Brooks Brothers d’ici-là, vous pourrez admirer le style impeccable de Gatsby le Magnifique  en ouverture du festival de Cannes et en salle..














Il Grande Gatsby al cinema.



E' arrivato nei cinema italiani l'adattamento cinematografico del capolavoro di Francis Scott Fitzgerald, Il Grande Gatsby.

Il film narra la storia di Nick Carraway, un apprendista scrittore, che decide di lasciare il Midwest per vivere il grande sogno americano di New York.
Nick Carraway ha il volto di Tobey Maguire; il personaggio fa da narratore per tutto la durata del film ed è proprio attraverso i suoi occhi che conosciamo Gatsby. Nick Carraway si trasferisce nel West Egg, vicino di casa della cugina Daisy, in cui abita con suo marito, Tom Buchanan, e sua figlia. La casa di Nick è accanto anche all'imponente villa di un misterioso milionario, celebre per le sue lussuosissime feste, Jay Gatsby. Lo scopo di Gatsby è ostentare ricchezza e lusso sfrenato per riprendersi Daisy, un suo amore passato.  

Leonardo Di Caprio veste i panni di James Gatsby e Daisy è interpretata da Carey Mulligan.
Non è stata una scelta facile per il regista Buz Lurhmann: per la parte di Daisy sono state provinate attrici del calibro di Amanda Seyfried, Rebecca Hall, Rachel McAdams, Keira Knightley, Abbie Cornish, Michelle Williams, Natalie Portman, Eva Green, Anne Hathaway, Olivia Wilde, Jessica Alba e Scarlett Johansson. Per il ruolo del marito di Daisy, Tom Buchanan, prima che la scelta ricadesse su Joel Edgerton sono stati scartati Bradley Cooper e Luke Evans mentre Ben Affleck ha rifiutato la parte.




Leonardo di Caprio è il Grande Gatsby
Il film è ambientato nel 1922, a quell'epoca la società americana veniva scossa da profondi cambiamenti: la nascita del jazz, la liberalizzazione dei costumi e il proibizionismo. Gli anni Venti vennero chiamati i gli "anni ruggenti" per la forte crescita economica che stava vivendo il paese. La maggior parte della popolazione era ricca o benestante e i party di lusso erano all'ordine del giorno. Erano anche gli anni anche delle grandi organizzazioni malavitose che guadagnavano soldi a palate fabbricando illegalmente alcolici, mentre i cittadini si riunivano nei locali clandestini bevendo fiumi d'alcol, fumando e ballando con le prime minigonne dell'epoca. L'obiettivo di tutti era diventare ricchi e il sogno americano rappresentava proprio questo, ognuno poteva avere ciò che desiderava.

"Il Grande Gatsby" è il romanzo che mostra l'irreale e il fittizio, mostra quanto sia illusorio questo traguardo e quanto siano destinati a rimanere delusi tutti coloro che tentano di raggiungerlo.

giovedì 21 marzo 2013

Rita Ora posa per Superga

Rita Ora modella per Superga

La cantante britannica, rivale nel mondo musicale di Rihanna, é la testimonial del brand italiano al posto di Alexa Chung.
Rita Sahatçiu Ora, meglio conosciuta come Rita Ora sarà il nuovo volto della campagna Superga della stagione Primavera Estate 2013.
La  cantante e attrice kosovara naturalizzata britannica, prende il posto della modella e presentatrice Alexa Chung, che è stata l'ambasciatrice del brand per gli ultimi due anni.
“Essere il volto di Superga è magnifico – ha dichiarato Rita alla stampa - E' un grande marchio e rappresenta un po' la mia personalità: informale, casual e molto pratica".

Star della Grand Bretagna, la ventiduenne Rita ha debuttato come attrice nel 2004 e successivamente è entrata nel mondo della musica realizzando il suo primo album nel 2012.

Il singolo con DJ Fresh “Hot Right Now” ha debuttato alla vetta della classifica del Regno Unito ed il relativo video ha avuto oltre 38 milioni di visualizzazioni su YouTube. 
 


La cantante è stata inoltre protagonista di alcuni gossip che la vedono attualmente fidanzata con Cara Delevigne, una delle top model più desiderate del momento.
Le immagini della nuova campagna pubblicitaria Superga sono state scattate a Londra da Stefan Heinrinchs e mostrano una Rita Ora più sensuale che mai con un'espressione maliziosa negli occhi. 


La cantante posa con i piedi su un pianoforte presentando l’ultimo modello di scarpe Superga bianche classiche e lamè.

“Un paio di scarpe cosi sono qualcosa che bisogna possedere - ha concluso Rita mostrando un sincero entusiasmo - è come un progetto nel vostro guardaroba".

Pantone ci stupisce !

Pantone ? Ormai lo conosciamo tutti, grafisti, decoratori..
E' la "Guida" del colore per eccellenza, le innumerevoli nuances tra le quali c'é senza dubbio la "nostra", l'unica ..
E adesso ecco il nuovo progetto realizzato dai maestri del colore si chiama "Pantone Skintone Guide". 
Si tratta di un elenco con riferimento fotografico dei 110 diversi colori di pelle che gli esperti hanno rintracciato sul nostro pianeta. Questa guida può essere usata per la produzione di cosmetici, nel campo della moda e della fotografia. 



Ad ogni colore sono abbinati un numero di Pantone che lo rendono riconoscibile e un secondo numero che ne segnala il colore del sottotono.

venerdì 1 marzo 2013

Olivier Saillard presente l'exposition à l'Hotel de Ville de Paris

A la tête du Musée Galliera, fermé jusqu'en septembre, cet historien de la mode a été à l'initiative de plusieurs expositions hors les murs, de "Madame Grès" au Musée Bourdelle à "Comme des Garçons-White Drama" aux Docks Cité de la mode...
 Autour de cet art mineur, l'homme insuffle une réflexion majeure. A l'occasion de l'inauguration de "Paris Haute Couture", à l'Hôtel de Ville de Paris, Olivier Saillard évoque les grands chefs-d'oeuvre de la collection Galliera.

Comment est né le concept de "haute couture" ?

La paternité en revient à Charles Frederick Worth, un couturier anglais installé à Paris à la fin du xixe siècle. Cet homme de marketing avant l'heure a su séduire les princesses des cours européennes. Il a inventé le renouvellement des collections tous les six mois en suscitant l'envie de nouveautés. Il est aussi le premier à avoir présenté ses vêtements sur des mannequins qui défilaient devant les clientes. 

Ses successeurs s'appellent Jacques Doucet, Jeanne Lanvin, Paul Poiret, Elsa Schiaparelli, Madeleine Vionnet...

Quels sont les points communs avec la haute couture actuelle ?

Sans conteste le fait main et le sur-mesure. Les premières maisons de haute couture possédaient leurs propres ateliers, qui pouvaient compter jusqu'à 400 ouvrières.
 Mais les choses ont changé. La fermeture de Balenciaga, en 1968, a marqué une étape importante. 
A l'époque, son fondateur ne se reconnaissait pas dans l'effort de démocratisation du prêt-à-porter, et sa décision a mis en évidence plusieurs questionnements, toujours d'actualité. 
La haute couture est-elle la même que dans les années 1920 ou 1950 ? Existe-t-elle toujours ? Est-elle devenue uniquement un phénomène médiatique ?




 Il est certain qu'aujourd'hui, ce n'est plus une activité rentable mais une entreprise noble d'image et de communication, qui oeuvre aussi pour la sauvegarde d'un patrimoine humain, celui des petites mains.

Comment avez-vous travaillé sur l'exposition de l'Hôtel de Ville ?

Sur les 100 000 pièces que compte la collection du Musée Galliera, j'en ai sélectionné une centaine comprenant les plus grands chefs-d'oeuvre que nous possédons. L'exposition chronologique couvre les débuts de la haute couture jusqu'à la fermeture de Balenciaga, en 1968. Elle est ponctuée par la présentation de vêtements de couturiers contemporains comme Christian Lacroix et Jean Paul Gaultier, qui font écho aux pièces historiques.
La salle d'exposition de l'Hôtel de Ville, dont l'accès est gratuit, attire des visiteurs aux profils hétéroclites, un grand public qui assimile souvent la haute couture à des vêtements importables. 
 L'exposition présente des pièces absolument extraordinaires, mais aussi des robes épurées dont la simple coupe témoigne d'un incroyable savoir-faire.

"Paris Haute Couture", du 2 mars au 6 juillet, entrée gratuite,
Hôtel de Ville, salle Saint-Jean, 5, rue Lobau, Paris-4e.